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[GC2019] J’ai pu jouer à Zelda Link’s Awakening !

Preview gamescom Zelda Links Awakening

Est-il besoin de vraiment présenter le jeu ? Le remake de l’épisode sur GameBoy a été annoncé lors du Nintendo Direct du 14 février, et depuis c’est tout Internet qui s’impatientait. Encore plus à l’annonce d’un collector sublime, que je me suis empressée de précommander en voyant le steelbook à l’effigie de ma première console portable.

Pour ma part, j’ai joué à Link’s Awakening DX sur la console virtuelle de la 3DS, donc très tardivement. J’ai plutôt bien aimé, après un début un peu compliqué. Mais c’était tout de même il y a bien longtemps, donc mes souvenirs sont assez faiblards. C’est comme si je repartais de zéro pour cet épisode, et je dois dire que ça s’est vu lors de mon essai ! Le jeu était celui qui avait le plus de succès sur le stand Nintendo, et j’ai eu un peu de mal à l’approcher… Mais en arrivant à l’ouverture un matin, j’ai eu cette chance !

Editeur : Nintendo Plateformes : Switch
Développeur : Nintendo Date de sortie : 20 septembre 2019

 

Le jeu

Je ne vais pas m’appesantir sur le scénario. Déjà parce qu’il est connu par la majorité d’entre vous, je n’en doute pas. Mais aussi parce que je ne veux pas prendre le risque de spoiler quoi que ce soit pour les autres. Mais pour résumer, rappelons que Link échoue sur un île étrange, nommée Cocolint, et surmontée d’un œuf. Il est recueilli par Marine, et va devoir partir à la recherche du Poisson-Rêve pour quitter l’île. S’ensuite une exploration de l’île pour trouver divers objets, qui vont l’aider dans sa quête, et bien évidemment des donjons avec des énigmes à résoudre.

Je dois dire que le tout début du jeu m’a posé quelques soucis. Je ne savais plus exactement où aller, et surtout comment. J’ai donc perdu un temps fou à trouver la solution (qui était toute simple, évidemment). La démo étant limitée dans le temps (10 ou 15 minutes), cela m’a un peu handicapé dans mon exploration… Mais j’ai vu avoir un aperçu de la plage, avec son sable et ses vagues, la forêt, et quelques cavernes.

 

Le monde est ouvert, mais au début vous êtes facilement bloqués en l’absence des objets nécessaires. A vous de trouver à qui parler pour avoir les bonnes informations, essayer les objets ici et là pour avancer, etc…

 

La direction artistique

Le design du jeu a fait débat dès les premières images, mais moi j’adore ! Cet aspect diorama animé, avec des personnages très arrondis et surtout très colorés… Le premier Zelda de la licence que j’ai vraiment aimé, c’est A Link Between World, pour vous donner une idée. Le jeu est simplement parfait de ce point de vue, je me suis régalée tout du long de la démo. Que ce soit les personnages, le village, Chomp (<3), la forêt, la plage… Tout est tellement charmant, et laisse la place à l’évasion. Je me croirais presque en vacances. Même les ennemis sont mignons comme tout !

La vue du dessus a été conservée, mais avec les personnages tout en relief et leur petit bouille arrondie.

La bande son n’a rien à envier aux graphismes, mais là encore il fallait s’y attendre. Le côté rétro des mélodies a été conservé, mais lissé, et orchestré. Elles apportent une note supplémentaire de fraîcheur au jeu.

 

La jouabilité

Sans surprise, la démo fut un régal. C’est très fluide et agréable de toutes parts. Certaines actions ne sont pas toujours intuitives, et j’ai dû me creuser un peu la cervelle pour me débloquer dès le début, mais nous sommes dans un Zelda, il y a un peu de réflexion, c’est normal. Je me sentais juste un peu ridicule car j’avais déjà fait le jeu ! Mais en dehors de ça, je n’ai rien à redire.

Je n’ai pas eu l’occasion d’utiliser des objets, mais je ne doute pas que leur mise en oeuvre ne sera pas très complexes non plus, étant donné que c’était déjà le cas avant. Il ne reste plus qu’à attendre un peu avant de retourner sur Cocolint

Les photos sans le filigrane « PG » sont issues du press kit de l’éditeur.

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